|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
|
|
|
|
LES MEUTES HUMAINES
03/11/2008 10:47
Nous sommes les vampires de notre propre vie et nous la dévorons aux lèvres de la nuit Nous sommes les enfants inutiles moqueurs dont les lèvres gercées couturées de bonheur ne vomissent en s'ouvrant que l'immondice mal arrachant la suture qui retient l'animal que nous sommes. En cédant hurle et crache au soleil maudit la terre et l'homme notre monstre en sommeil et les ombres lâchées aux souvenirs du jour irrépressiblement sans cesse tuent et courent ne sauvant l'éternel de leurs minables êtres qu'en jetant tout leurs corps au brasier de la bête
| |
|
|
|
|
|
|
|
l'oeil
03/11/2008 16:23
J'aime bien tes yeux mais je préfère les miens car sans eux je ne te vérais pas
Commentaire de Requiem (03/11/2008 21:55) :
Ce n'est pas faux ce que tu viens de dire ^^
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
poéme
03/11/2008 16:34
Je su¢¢Ömße à la peur de tes veines, Le sang Ößs¢ur de tÖn âme, De tÖn éternel désir pÖur ¢et être, Ce sentiment ayant ¢Ömme ƒrappé tÖn ¢&ƒra¢12;ur, DamÖur, de haine, de jÖies, Et de mélan¢Ölie, Mais tu reste la même, Je ne vis plus, Quand je sais que des idées nÖires traversent tÖn esprit, De peur si hÖnteuse, De te perdre à jamais, Je taime trÖp pÖur ¢ela, AlÖrs ne gâ¢he pas ta vie, Je tiens à tÖi.
| |
|
|
|
|
|
|
|
poéme
03/11/2008 16:35
J'erre sans but dans un cimetière
La froideur ambiante congèle la terre
Je laisse voguer mon désespoir
Telle une silhouette vide dans le noir.
Au bord de l'abîme, je sanglote
Entouré de ces tombes, mon âme flotte
J'ai rencontré la mort cette nuit
Je t'ai perdu car tu m'as fui.
Une romance coulait dans mes veines
Dans mes yeux tu étais ma reine
Indétrônable, tu m'inspirais
Tu étais mon seul intérêt.
Hier soir, tu as rompu le pacte
Que j'espérai toujours intact
En me remplaçant par un autre
Le mot amour n'était plus nôtre.
De rage, je t'ai vomi mon dégoût
De haine, je t'ai serré ton cou
De colère, je n'ai pas lâché
Mon acharnement t'a tué.
Mon seul abri est ce cimetière
Cette tombe est mon lit sanctuaire
Seul, je n'ai plus ton réconfort
Je suis un mort parmi les morts
Commentaire de Requiem (03/11/2008 21:58) :
Magnifique . Je ne peux poster de comms sur tt t magnifique poeme alors je
te dis ici que tt t poeme sont les plus bo . jtm
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
poéme
03/11/2008 16:37
Je suis couché sur l'océan, le teint blafard,
Les joues creuses, les mains ensanglantées,
Les doigts crispés, seul gît mon désespoir,
Mon corps dérive las d'être tourmenté.
Anxiété de la mort, où mon coeur s'égare,
Cimetière des pleurs d'une enfance déchue.
Aux larmes assoiffées, le regard hagard,
tombe des sourires aux joies corrompues.
Vaincu par l'angoisse et les métempsycoses,
Sur mon crâne assiégé est planté ce drapeau noir.
Cruel despote aux infâmes métamorphoses,
Dans la nuit des forfaits, l'éclat des victoires.
Aucune souffrance passée n'est oubliée,
Redoutant de finir en gibier de potence,
Les lits pour les douleur ont été apprêté,
La nuit tombe laissez moi O pénitence.
Le son de la mort s'afflige vers la forêt,
D'une douleur qu'on veut croire orpheline.
Un sonnet lugubre aux tendres effarés,
Qui monte avec le soleil qui décline.
La tristesse, la langueur d'un corps au désespoir,
Tant il fait doux par ce soir d'automne,
Tiède encore du bain gisant de la lune noire,
Éclairant les gouffres amers en soupir monotone.
| |
|
|
|
|